Photos motos

Dans ce article, vous pourrai voir les photos, en plus gros format, 
de toutes mes motos de la première à la dernière, bonne visite. 
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 tout a commencé avec elle à 14 ans tout  joyeux,  copie conforme.

  Assez vite je commençais à passer vite, j'ai travaillé un peu 
je faisais marcher, j'aurais parlé du vélo et moi tous les copains
ça me faisait des petits sous que j'ai pu me faire un beau cadeaux.
Une Motobécane SP 94TT,  copie conforme.

Là j'ai commencé à changer littéralement ma façon de conduire, il fallait s'adapter à l'impossibilité de pouvoir passer ses jambes d'un côté ou d'un autre, en cas de chute étend donné qu'il n'y avait plus d'espace entre le réservoir est la selle, ceci dit très agréable à conduire, à deux on se traîner un peu mais  quand on promène  sa copine d'antan, c'était le pied  intégrale, devant les copains s'étaient ouais à en elle est chouettes ta meule, copie conforme.

 Imaginez comment cacher  ça à vos parents
ça prend quand même de la place une Gitane Testi

En suite je suis passé à une conduite différente à cette époque, il était vraiment grisant de pilotés un engin comme celui-ci, qui monter à plus de 100 km heures, le bruit du pot d'échappement, était celui d'un  essaim d'abeilles. La fameuse Gitane Testi, guidon bracelet, la gueule dans le réservoir, copie conforme.

 Motobécane bleu  copie conforme

Ensuite est venue l'époque où il fallait commencer à travailler réellement entrer dans la vie, à 15 ans je commençais déjà à mettre de côté pour pouvoir acheté, à l'époque on appelait ça une bleu, là ce n'était plus pour le plaisir, je travaillais comme coursier j'étais payé à la course, à cinq francs le point, je faisais une trentaine de livraisons par jour,  inutile de vous dire que de ce temps la circulation n'étend pas du tout ce qu'elle ne l'est aujourd'hui on roulait sans regarder le compteur qui (ne dépassait pas les 45 km/h, mais déjà avec une petite bidouille de pousser) les sens interdits connaît pas, les trottoirs également,  et tout ça sans GPS, il fallait travailler au plan papier, ou alors voir toutes les adresses en tête mais finalement à force de faire toujours les mêmes, on n'a plus besoin de chercher, cela m'a permis beaucoup plus tard, de pouvoir m'en resservir, copie conforme.

Vespa Piggo 50cc  copie conforme.

 Le mythique 750 fours copie conforme.

Le gabarit commencé à grossir, les vitesses manuelles faisaient leur entrée (au guidon côté gauche), le style était pas mal elle avait une petite gueule une super suspension avant et surtout une première à ne pas chatouiller surtout avec une caisse à l'arrière une caisse de coursiers la bleue commençait à vieillir, et la nouvelle mode était au Piaggio Vespa 50 cm³ je l'ai équipé d'un pare-brise et d'une caisse arrière, celle-ci une fois chargée il fallait faire attention au démarrage, sinon ont soulevé très facilement très agréables à conduire un frein arrière au pied, la seule difficulté à mon sens, était le changement de roue arrière où on ne vu l'obligation de coucher la moto par terre pour pouvoir changer sa roue arrière, copie conforme.

Foudroyant le passage du 50 cm³ aux 750 cm³, un jour un copain s'est pointé dans la bande, oui parce que à l'époque ont appelé ça une bande, un mec et arriver Ver nous, ne le connaissions à peine, mais peu importe son gros cube faisait de l'effet, surtout qu'à l'époque c'était la coqueluche du moment les mythiques 750 fours de chez Honda. C'est quatre sorties d'échappement en deux, avait une sonorité pour l'époque surprenante, on était plutôt habitué, pour Monsieur tout le monde à conduire des motos relativement sages, alors que celle-ci été une grosse bête, il me proposa de l'essayer moi évidemment pour faire le fier, eh bien j'ai du oui et la plus question de faire marche arrière, j'enjambe le monstre, après deux ou trois explications sur la boîte de vitesses, j'enclenche la première et je roule, la sensation extraordinaire de liberté et de puissance illimitées, je tape la deuxième et là tout s'embrouille dans ma petite tête je dépassais les 130 km/h sur le boulevard Ney dans le XVIIIe arrondissement à cette époque, je roulais à plus de 140 km/h, sans casque sans permis évidemment je n'avais que 17 ans, et j'ai entendu le bruit d'une sirène, un petit coup d'œil dans le rétro, et j'ai compris que c'était pour moi. Dans ma tête à ce moment-là tout a été très vite, on sait bien que sans permis, sans casque, et surtout à cette vitesse en agglomération, il est impossible d'y échapper. De plus avec toutes les infractions que j'avais commises, j'entamais ma cinquième le délit de fuite, une course folle dans les rues de Paris commença, et c'est comme dans les jeux, on ne gagne jamais, je me suis fait serrer en beauté, ayant paniqué avec la boîte à vitesses et j'ai évidemment calé, et là badaboum ils me sont tombés dessus, comme à la télé flingues au point en hurlant descendent la moto couche-toi à terre les mains dans le dos, vous allez dire pourquoi cinq infractions, alors qu'ont en compte quatre jusqu'à maintenant en lisant bien, vous figurez, que conduite sans