Parcours pro

Cette page vous résume mon parcours professionnel.

Les Marchés

À 13 ans je ne trouvai pas de passion particulière pour les études, j'ai commencé à faire des petits boulots pour commencer l'aide au déballage de la marchandise sur le marché, et leur emballage en fin de celui-ci, cela me permettait de mettre des petits sous de côté, la semaine j'étais à l'école, le week-end en matinée je me trouvais sur les marchés, mais le dimanche après-midi, j'ai passionné par les deux roues, mais comme cette activité était prescrite à la maison ce qui fait, que je cachais mes petits tours de Mobylette avec les copains; je me suis mise à réparer et modifier leur bécane quand je me suis acheté mon premier Cady de la marque bien connue à l'époque Motobécane et de file en aiguille sur les marchés je commençais à prendre des contacts avec d'autres camelots, ce qui m'a permis de recevoir la proposition de travailler pour une primeur, mon travail consistait à remplir le camion, de le décharger sur les marchés, de travailler derrière le comptoir au service du client, et de recharger en fin de journée le camion pour retourner au dépôt le décharger de nouveau, les journées commençaient à quatre heures du matin, pour finir à 20 heures et parfois 21 heures le soir; mon salaire était totalement différent je ne travaillais ni au jour ou à l'heure j'avais un forfait à l'époque dit mensuelle, en ce temps-là cela me rapportait 550 Frs. par mois, sans compter les pourboires qui pour certains mois étaient plus que raisonnable, à cette époque habitait au val de Fontenay-sous-Bois, dans une cité que l'on appelait l'AZUP

La Zupe Fontenay S/B, LE BLOK

j'avais comme meilleur ami le célèbre Samy Naceri, qui n'était évidemment pas son nom de tous les jours, puisqu'il a obtenu celui-ci le jour où il est rentré sur les planches en attendant de décrocher le rôle qu'il va le faire connaître dans le film taxi numéro 1, 2, 3 et 4, mais bien avant tout ça nous ne pensions qu'à sortir dans la cité, ou à la patinoire de la grande surface du coin. Nous nous sommes connus sur les bancs de l'école s'il tombe sur ce blog il s'en rappellera car ce jour-là je lui avais mis une punaise sous son siège, de là à commencer notre amitié, bien entendu j'ai eu le plaisir de faire la connaissance de son grand frère, Larbi, et Mourhad, ainsi que ses parents évidemment qui étaient des gens très bien sans histoire, et il n'en cherchait pas du tout. Évidemment il ne savait pas toutes les petites bêtises que nous faisions sinon ça aurait valsé pour lui, comme pour moi, et il nous m'aurait interdit de continuer à se fréquenter. Nous partagions le même plaisir pour les mobylettes nous n'étions jamais les derniers pour en chevaucher une, et dès que l'occasion se présentait, je cachais cette Mobylette dans la cave du copain évidemment impossible de rentrer à la maison avec sous peine de voir ma faire une crise d'épilepsie. Le temps passait et les copains roulaient en 50 cm³ cross, et 50 cm³ à Guidon bracelet du type moto actuel, quand un copain a voulu changer la sienne pour passer à plus gros je me suis proposé de lui acheter la sienne d'occasion qui était en parfait état de plus le moteur était entretenue par mes soins je connaissais donc cette bécane je vais donc prise et me voilà sur la selle d'un Gitanes Testi, Mobylette qui à l'époque étaient la coqueluche des jeunes elle atteignait une vitesse de pointe de plus de 100 km/h, le reste du temps nous le passions à la patinoire c'était notre terrain de chasse, j'ai commencé à mettre de côté, ce qui m'a permis d'acheter réellement ma première mobylette payée de ma poche. le temps des écoliers touchés à sa fin, et le destin devait nous séparer, mes parents avaient acheté un commerce sur Paris XVIIIe, nos relations continuèrent quelque temps pour finir à ne plus se voir faute aux kilomètres importants entre la cité et Paris, je peux vous certifier une chose le Sami que nous montrent les médias n'a jamais été ce qu'ils en disent, qui n'a pas eu de problème qui peut jeter la première pierre à l'autre les gens qui parlent devraient prendre la place pour un instant de celui qui incrimine ils s'apercevront alors que la vie n'est pas toujours rose.

Par la suite, j'ai commencé à travailler comme magasinier

Magasinier automobile

Magasinier pour un groupe de pièces auto boulevard Ornano Paris XVIIIe, où là les horaires étaient dits normaux, le travail était routinier pas déplaisant, par contre le salaire lui était intéressant puisque mensuellement je frôlais les 950 voient 1000 fr. par mois. Même en dépensant un peu d'argent comme le font normalement les adolescents avec les copains, j'ai pu mettre de côté pour voir venir. et je fis connaissance dans le 18e d'un nouvel ami du nom de Jean, (Juan), qui me fit connaître à son tour trois autres copains avec lesquels on se promenait au rythme des rockeurs travaillant la semaine lui était peintre, les deux autres continuent leurs études, nous ne nous retrouvions souvent dans un café des halles à Paris c'était notre point de chute, quant au deuxième point de rendez-vous lui était situé rue Lamarck - Caulaincourt toujours dans le 18e, c'était là qu'habiter celle qui aller devenir la femme de Jean, Maria, à un certain moment nous avions envisagé de monter un petit groupe de musiciennes façons forbans, autant vous dire que je n'avais ni l'oreille musicale est encore bien moins la voix pour l'ouvrir dans ce gros la seule issue était d'apprendre la batterie alors que j'en lis savais très bien chanter connaissais toutes les chansons et paroles des Sixtine, quant aux deux autres, deux excellé avec une basse, quant à l'autre n'avait pas son pareil à la guitare électrique et la santé c'était les quatre mains de la bande. Nous roulions Jean et moi en vespa et les deux autres étaient assis à l'arrière.

Motobecane

En 1977, j'ai commencé à entamer mes économies, pour acheter la première bécane ce que l'on ne dit pas et que si un raccourci n'est pas assez rapide donc ne totalise pas un nombre des clients donnés par jour, son salaire sur un ridicule car pour la plupart des coursiers, leur salaire est en fonction du nombre de points livrés ou ramassés, (pour une somme fixe à la course), ce qu'il veut dire en clair qu'un coursier a tout intérêt à franchir les limites de vitesse autorisée, parfois et souvent prendre les trottoirs, il leur arrive également pour éviter des détours importants notamment sur Paris, rempli de sens interdit; d'emprunter ces derniers afin de gagner du temps, un bon coursier à l'époque ramassée un pli (colis), à 10 ou 20 frs. selon la société de course, ensuite sont arrivés les petits futés, qui avait des mobylettes, une moto dans un état recommandé, et se fait il faisait payer beaucoup moins cher, ce qui a amené les anciens coursiers acquittés leur place, n'étant pas suffisamment payé, ou alors et au pire certain de proposer de faire beaucoup plus de livraison pour pouvoir afficher un salaire respectable. Aujourd'hui on trouve encore quelques coursiers motorisés, d'autres pratiquent ce métier à pied, dans un secteur rapproché et bien déterminé. Pour d'autres qui se sont rapprochés des grosses sociétés telles que la N.N.P.P (livraison de journaux)

qui pour leur image de marque fournissez son parc motorisé, de véhicules correctement entretenus, au niveau moteur et propreté. Ce marché a ouvert jusqu'à aujourd'hui la livraison de sur cylindrée 125 cm³ et plus, on verra plus tard apparaître les deux-roues VIP, qui avaient pour mission de transporter du personnel de direction point d'un A, point à un B, aujourd'hui le transport en deux roues est toujours aussi rapide, beaucoup plus confortable, c'est ainsi qu'apparut le taxi moto, nous serons amenés à en parler plus tard sur d'autres pages du blog. Espérant vous faire partager au mieux ce parcours, cela vous fera peut-être entrevoir d'où me vient cette passion, et comment sont arrivés les autres. Avec lequel je devais travailler. Chemin faisant, il fallait retourner au boulot et je prenais tellement mon pied sur ce deux-roues et bien évidemment j'ai trouvé un emploi en adéquation avec cette passion, je suis rentré comme coursier dans une petite maison de course à course, cette fois-ci pour gagner de l'argent aux dires des copains, ce job rapporté à celui qui le faisait. La moto assure la livraison ultra-rapide des colis, dans Paris et dans toute l’ile de France. Grâce à l’expérience, des coursiers, la logistique aller être optimisée, afin de répondre à la demande efficacement et toujours plus rapidement. La qualité des courses à moto a séduit de nombreuses sociétés. De plus, les conducteurs sont des experts de la livraison et ont été formés aux exigences sécuritaires du métier.

Piaggio vespa

Le temps a passé, les années rock "n" roll de mon temps est apparu, à ce moment-là nous fîmes un retour en arrière pour découvrir de nouveau les scooters Piaggio nommé vespa. Évidemment cela ne m'a pas laissé indifférent jour venu pour moi de changer mon deux-roues était arrivé, et je fis l'acquisition d'une vespa 50 cm³ que j'ai bien évidemment aménagés d'une caisse arrière pour les colis, et d'un pare-brise spécialement adapté à ce type de moto en ce temps-là il y avait beaucoup d'utilisateurs de ce genre scooter comme dans les années 60. Après quelque temps est venu le temps pour moi de faire mon incorporation militaire, et je reçus en cadeau ma premières quatre roues, une DS 23 Pallas Citroën qui allait me permettre de passer mes permissions à Paris, j'ai été affecté à Verdun au régiment du 11e chasseur, ou après mon mois de féta (premiers mois d'armée), je pus profiter de ce véhicule pour rentrer sur Paris à cette époque déjà je faisais du covoiturage sans le savoir notre solde mensuelle ne nous permettait pas de faire le cœur dans une voiture pour pouvoir rentrer chez soi seul alors je partageais le trajet avec quatre autres appelés, et nous partagions les frais de route à l'aller et au retour ceci  profité à tout le monde.

Citroën DS23 Pallas

Les mois passés je pus repasser tous les permis à l'armée que ce soit celui du VL, et du poids lourd. Enfin arrive le jour de la libération, j'étais heureux à l'idée de savoir que je vais sortir de là avec un permis supplémentaire qui pourrait m'ouvrir les portes dans le transport civil, mais malheureusement après quelques erreurs pendant ces besoins, on m'a gentiment informé que je n'aurais pas la validité de permis le jour de ma libération. Quelques mois après mon retour dans la vie civile, je rendis visite à mon cousin habitant sur Paris avec ma DS, quand malencontreusement arrivé devant chez lui je m'âpreté à me garder, je n'attendis pas d'avoir fini la marche arrière que j'engageai la première pour pouvoir manœuvrer, et là d'un coup la voiture stoppa net, je ne pouvais plus avancer ou reculer je décidai donc de la laisser sur place pensant venir la rechercher le lendemain avec un plateau et un mécanicien, j'ai fait connaissance ce jour-là avec le métro parisien, et je suis donc revenu le lendemain pour reprendre mon véhicule, le mécanicien a fait tomber le verdict est ma boîte de vitesses également celle-ci avait cassé car je n'avais pas attendu de passer au point mort pour enclencher la première. La voiture avait également fini son service ce jour-là.

Après quelque temps je fus dans l'obligation de me racheter une voiture, je commençais sans me rendre contre, à entrer dans le cercle des additionneurs de véhicule à moteur, à suivre dans les autres pages de ce blog. En même temps que ma libération de l'armée, j'ai été embauché dans le commerce familial mais horaire était souple, mon salaire ne me permettait pas de me plaindre, je sortais fréquemment avec mon frère le week-end et au cours d'une inauguration, je fis connaissance de celle qui allait devenir ma femme. Et là tout s'est enchaîné, après plusieurs autres commerces et d'autres histoires, je me suis marié, et là nous nous sommes retrouvés avec deux véhicules c'était le début.

Type de Car pour Transport
en Commun
Photo Non conforme

J'ai passé entre-temps mon permis de transport en commun pour pouvoir entrer au service de la RATP, et je me suis retrouvé à travailler pour Air France, où j'avais la charge pour commencer de faire la navette avec 18 m³ aménagés en minibus pour transporter le personnel au sol, du poste de sécurité au satellite d'embarquement, quand j'étais dans la tranche horaire du matin et pour l'après-midi je raccompagnai les hôtesses et les Stewart alors domicile personnel, sans oublier les commandants de bord de la concorde à l'époque qui atterrissait à Roissy Charles De Gaulle à 22h30, ce qui ne faisait quitter aux alentours de 1h30 du matin, mon salaire avait doublé, et un jour compression de personnel, je me suis retrouvé au service du personnel du courrier de l'Île-de-France pour transporter cette fois des civils sur une navette omnibus partant du Val d'Oise; à la porte de Paris Saint-Denis entre chaque arrêt au même titre que la RATP il fallait encaisser la billetterie cela a duré quelques années. J'ai ensuite incorporé ce qui allait être mon dernier poste en tant que chauffeur de car les transports PNA, où je faisais le transport de personnel de l'usine Citroën à Aulnay-sous-Bois jusqu'alors domicile la il n'y avait pas de billetterie ce personnel était transporté gratuitement et la société se débrouiller avec la maison Citroën.

De retour dans les commerces familiaux pendant quelque temps, je me suis engagé dans le transport routier, j'ai ouvert ma première société, j'ai commencé par un véhicule de 8 m³ Messagerie véhicule de ce type, huit ou 12 cm³ pour faire du transport de messagerie, livraison de colis, au même titre qu'à l'époque où j'étais coursier en mobylettes, cette fois-ci je me retrouvais à effectuer des livraisons de colis un peu plus gros sur trois arrondissements de Paris, ma quantité de livraison prévue pour la matinée était de 30 points de livraison; et pour la première dite d'une vingtaine d'enlèvements les journées commencées à cinq heures du matin pour finir vers 20 heures le salaire qu'ils n'avaient plus rien à voir avec le passé effectuer une facturation en fin de mois pour des prestations journalières multipliées par 30 ce qui ne permettait de rembourser le crédit du véhicule de payer l'assurance, d'alimenter le véhicule en gasoil, et enfin sur ce qu'il restait je pouvais assurer ma vie de couple. Je n'avais pas encore de loyer à payer car nous vivions dans un pavillon monté de mes mains avec l'aide d'un maçon pour le gros œuvre, sur le terrain de mes parents, les jours passèrent paisiblement quand la société avec laquelle je travaillais, m'a proposé un deuxième contrat pour un autre véhicule, une autre tournée, ce qui impliquait l'embauche d'un salarié. Au même titre que les rentrées grandissaient, les charges et obligations d'une société grandissaient également, par la suite étant bien noté je me suis retrouvé avec huit contrats pour huit véhicules de 12 m³,

Iveco rallonger 12m2

poursuivre sur d'autres contrats avec deux autres véhicules de 24 m³, il me fallait pousser les murs de cette société j'ai donc loué un pavillon beaucoup plus grand avec un bureau en indépendance plus suffisamment de place pour entreposer tous les véhicules, y compris les véhicules privés autant vous dire que ça sortait aussi vite que ça entrée au niveau financier évidemment. Suite à cet agrandissement nous avons des marchés d'autres clients pour cette fois des contrats mensuels voire annuels pour de plus gros véhicules, neuvième contrat pour des 5 t, 10e contrat pour des douze tonnes, 11e contrat, pour des 19 t, ont suivi plusieurs contrats pour 38 t. à force de s'engager pour des sociétés, et l'achat de plusieurs véhicules il a fallu également penser à des entrepôts beaucoup plus grands nous avons donc pris un entrepôt de 700 m² pour y pouvoir entreposer de la marchandise sur palettes sur les afin d'assurer l'entreposage de marchandises, plus celle que l'on livrait cela représentait un chiffre important de colis et de poids manipulés par jour. Il a fallu également pour cela passer une capacité de transport, et faire un stage informatique, pour pouvoir éditer plus de factures, plus de fiches de paye, sans compter le personnel de bureau, tant au secrétariat qu'au service exploitation et gestion de stocks, période où j'ai fait connaissance suite à mon stage du monde qui s'ouvrait devant moi l'informatique, qui allait après m'avoir ennuyé pas mal de temps finir par me passionner. Mais ces quatre personnes ne m'ont jamais laissé me baisser pour faire quoi que ce soit s'il n'était pas sur leur tournée il faisait tout à ma place et encore mieux que moi, il y en a un qui s'appelait Bruno Bocquet très timide, mais un homme exemplaire qui donnerait tout pour vous et qui n'a jamais regardé ses heures ou ce week-end, le second Jean-Jacques Lesage, il faut savoir que je former chaque personne sur la tournée qui allait devenir, la sienne et dans la voiture il fallait vraiment s'accrocher à la ceinture on ne rigolait pas sur les temps entre chaque client. Figurez-vous que Jean-Jacques s'est calé dans le siège, n'a pas pipé un mot les yeux écarquillés ou l'on pouvait lire mais il est fou ce patron c'est quoi cette boîte, et donc aussitôt, après la tournée je lui ai demandé ses impressions et s'il se sentait capable d'assurer de la sorte, il me répondit je pense qu'il ne devrait pas avoir de problèmes, il faudra mémoriser le trajet mais je ferai tout mon possible. Sur ces paroles, les embaucher, c'est comme cela que j’embauche les gens avec qui je travaille, et ce dernier, est devenu le plus fou, et plus rapide que moi, il lui arrivait parfois de finir ses tournées et de finir celle de ce qui s'était planté sur leur parcours. Le troisième n'était un observateur, jamais un mot ne sortait de sa bouche s'il n'y avait pas une importance au niveau de la conduite et de la difficulté importante de sa tournée puisque c'est lui qui avait la plus longue la plus dure, même s'il avait moins de clients : par exemple il devait parcourir le 77 puis en fin du 78 pour faire une course son talent caché c'était la mécanique lui c'était Bruno Lonfier toujours dévoué il avait toujours une solution au problème. Le quatrième et non des moindres est venu un jour à la recherche d'un emploi dans mon bureau directement et m'a dit texto : je cherche du travail je sais tout faire je peux tout faire, peu importe le salaire mais il faut que je vous dise quelque chose, je sors de prison et généralement c'est un frein pour les éventuels employeurs. Je lui ai répondu, ce que tu as fait, comment tu as fait, pourquoi tu as fait, je m'en fous, je n'ai pas à te juger sur ce que tu as fait, mais sur ce que tu es capable de faire dans ma boîte, je lui ai donné un poste polyvalent sur les 8 m³ et 5 t il s'appelait Jean Ablard, un gros nounours d'une gentillesse extrême, très francs, un garçon à qui on pouvait accorder sa confiance sans failles. Quelque temps après avoir fermé cette société je les ai recherchés sur Internet sans succès nous nous sommes jamais revus depuis 93.

De retour de l'étranger et pendant quelques années, j'ai acheté une moto derrière l'autre, j'avais envie de toutes les essayer, j'ai même mis mon nez un jour sur Ebay, plein de naïveté et une petite annonce m'a électrocuté un Honda Goldwing 1800, pratiquement neuve au prix de six mille euros, j'ai donc laissé un poste sur cette annonce, le vendeur n'a pas tardé pour me répondre dans un premier temps il m'a répondu par téléphone portable ne disons à vendre car il s'est séparé de sa femme et le prix de cette vente devrait être partagé entre lui et elle je me foutais totalement, nous nous sommes quittés là-dessus et je n'ai plus de nouvelles pendant trois jours de cette personne il fallait le faire, je reçus par la suite des mails me disant qu'il lui a fallu se déplacer en urgence et que le (vélo) je cite la traduction de moto se trouver avec lui en Grèce qu'il avait une autre personne sur cette moto et qu'il fallait que je me décide très rapidement. Évidemment je n'ai rien vu venir j'étais tellement chaud été persuadé de faire une affaire que je ne me suis même pas méfié des mails d'un mauvais français ou quand il parlait de moto la traduction probablement de Google ou autres.

Le jour est venue où je décidai après un grand nombre d'années de tout revendre, le portefeuille clients ainsi que le parc automobile plus les bureaux, j'ai quitté Paris pour m'installer dans le midi, où j'ai ouvert une petite entreprise d'une huile essentielle, et bougies parfumées etc. etc. nous travaillons avec des centrales d'achat pour plusieurs grandes enseignes. je dois dire que ce genre d'activité me baisait il ne manquait quelque chose. Heureusement que depuis le stage informatique que j'ai dû pratiquer dans le transport m'a passionné. toutes ces informations m'ont servi depuis ce jour du fichier méconnaissance en la matière, je savais monter démonter un ordinateur de A à Z, reconnaître la provenance d'une panne, je me suis également intéressant à tous ceux qui étaient programme usuels nécessaires au fonctionnement d'un PC, et je commençais à m'intéresser à l'infographie, la construction de pages Web, etc. etc. cela m'a permis tout en travaillant dans la société de senteurs, de dépanner des amis, des clients, et quand il me rester du temps je partais m'acheter une moto, puis une autre, j'ai construit ma collection de cette manière au fur et à mesure du temps. Le Midi me convenait tout à fait, mais je voulais voir autre chose, j’avais envie d'autres horizons, nous avons une fois de plus tout revendu, et nous voilà partis à l'étranger, 

 Ne fermez pas la porte je reviens.

où je suis resté quelques années, j'ai trouvé un poste d'infographiste, je répar également les ordinateurs à domicile pour des francophones, tout en fabricant de sites Web pour des sociétés en France. Mais pour mon grand malheur la conduite du deux-roues, dans ce pays vous oblige à repasser votre permis de 500 cm³ en premier, afin de rouler une année avec 500 cm³, pour pouvoir prétende à passer un permis de plus de 500 cm³, le temps se prête aux promenades à moto, il est dommage de devoir mettre un cuir quand il fait 35° à 40° à l'extérieur, le casque est à peine supportable, pour les gants mieux vaut choisir une paire très fine sous peine de transpirer un maximum, il existe bien des poignées chauffantes, mais pas encore de poignées réfrigérantes pour ce qui est de l'épaisseur du gant il faut s'attendre tout de même à des projections de gravier, et se préparer à la douleur. La nostalgie de la France, de ses promenades à moto libre de choisir la puissance de la moto que l'on désire, j'ai donc fait demi-tour avec toute la famille de nouveaux et directions la France.

De retour en France tout aller changer un bouleversement total aller se préparer je ne retrouvais plus d'emploi, il fallait accepter tout ce qui se présentait même de courte durée, la différence entre la France et l'étranger où j'ai été et que là-bas on ne vous demande pas les certificats de travail et votre CV, ou de l'expérience, si vous dites être capables de faire ça ou bien autre chose, on vous met devant le fait accompli. S'il s'avère que vous êtes un gros nul, vous passez à la comptabilité immédiatement, si vous arriver à vous en sortir, vous avez le poste. En France on vous demande plein de documents, on vous donne des convocations, on dit que l'on va vous rappeler, et vous, attendez il y a également la façon CV par mail, là vous envoyait votre CV et votre lettre de motivation, et on vous répond pratiquement jamais. Alors ont fait jouer ses relations afin de trouver un contrat qui vous permettra de patienter en attendant un poste adapté à vos capacités, j'ai fait pas mal de petits boulots, de la préparation et des mises en boîte de slips pour hommes et femmes, des chaussettes, et autres sous-vêtements, pour les faire partir par transporteur, en suite, je me suis retrouvé de l'autre côté de la barrière où j'ai pu apprécier ce qu'éprouve un employé tous les jours, je peux vous dire que dans ma société de transports, ce n'a jamais été comme ça, j'avais même quatre chauffeurs exceptionnels, que dis-je, chauffeur c'était plutôt devenu des amis, des confidents, des frères, à cette époque je commençais à être malade, et comme nous faisions toutes nos réparations de première mécanique et révision nous-mêmes chaque week-end, ou je me retrouvais sous une voiture, ou un camion pour changer les freins ou redresser de la tôle.





De retour de l'étranger et pendant quelques années, j'ai acheté une moto derrière l'autre, j'avais envie de toutes les essayer, j'ai même mis mon nez un jour sur Ebay, plein de naïveté et une petite annonce m'a électrocuté un Honda Goldwing 1800, pratiquement neuve au prix de six mille euros, j'ai donc laissé un poste sur cette annonce, le vendeur n'a pas tardé pour me répondre dans un premier temps il m'a répondu par téléphone portable ne disons à vendre car il s'est séparé de sa femme et le prix de cette vente devrait être partagé entre lui et elle je me foutais totalement, nous nous sommes quittés là-dessus et je n'ai plus de nouvelles pendant trois jours de cette personne il fallait le faire, je reçus par la suite des mails me disant qu'il lui a fallu se déplacer en urgence et que le (vélo) je cite la traduction de moto se trouver avec lui en Grèce qu'il avait une autre personne sur cette moto et qu'il fallait que je me décide très rapidement. Évidemment je n'ai rien vu venir j'étais tellement chaud été persuadé de faire une affaire que je ne me suis même pas méfié des mails d'un mauvais français ou quand il parlait de moto la traduction probablement de Google traduction, ou autres bref affaire classer, vente effectuer.

les arnaqueurs protégés par la France

et je suis rentré super content à la maison ou un coup de fil m'attendait c'était ce fameux vendeur qui m'appelait pour me dire que la moto a été mise dans le camion est prête à partir nous entamions le week-end ne je ne devais donc que leur recevoir samedi en fin de soirée puisque le prévenu vendredi après-midi. J'ai observé tous les camions passant devant mon domicile par un ne s'est pas arrêté mon empressement était au summum les heures passées la nuit tombée et j'envisageais très fermement la possibilité d'une livraison d'un tel objet le dimanche matin aux aurores et je me suis couché là-dessus évidemment le lendemain matin aux aurores il m'a fallu attendre un certain nombre d'heures pour m'apercevoir que je venais de me faire E............. de 6000 €, après renseignements j'ai appris, ne pas être le seul dans cette arnaque imaginée qu'Ebay ne fît rien pour empêcher ce genre d'article d'entrée sur son site et bla-bla habituel, la France ne fait rien, elle préfère aide le tier monde, les flics ne sont pas assez outillés, et range le dossier dans le tiroir, les responsable de site vendeur d'arnaque sont impossible a joindre, il n'y à même pas une lois qui dit, fermeture immédiate par la gendarmerie des lors qu’un citoyen se plein d'avoir était victime, il ne faut pas se fier à tous les vendeurs il faut payer quand vous avez reçu l'objet, mais dans le feu de l'action quand un vendeur dit moi je n'envoie l'objet, que si je perçois l'argent avant par ce que je n'ai pas confiance, s'il de mon côté j'ai le même raisonnement, aucun de nous deux enverra quoi que ce soit c'est un couteau à double tranchant, j'ai essayé, de voir si la gendarmerie pouvait faire quelque chose, ils m'ont répondu qu'il valait plutôt mieux se mettre en rapport avec un huissier du secteur où a été envoyé l'argent pour qu'il puisse gérer si j'ose dire leur affaire en famille entre le temps où je trouvais cet huissier, le temps qui va mettre à retrouver cette crapule, pour un peu qu'il soit de mèche, et quelque temps après et surtout après une recherche j'ai vu que ces Africains se régalaient sur, comme il les appelle, les Cus blanc (les blancs), et qui étaient les rois en matière d'arnaque sur Internet,
mais en fait il y en a partout que ce soit au Bénin et autres pays sous-développe dont on ne se méfie jamais, de ces gens-là, en Angleterre également oui, et en Belgique il y a un réseau très bien organisé, heureusement pour nous, nous avons plusieurs moyens des retrouvez en premier, il est facile de retrouver via un mail reçu de la part de la personne, l'adresse du lieu de l'escroquerie, mais le temps de se déplacer là-bas, l'argent que cela peut coûter quand on se retrouve en face de ce genre de personne, la seule chose qui mérite premièrement c'est les deux mains coupées les yeux arrachés à la petite cuiller et leur péter les deux gambes, et pour finir le mutilé a vie, ça lui donnera peut être pas envie de recommencer, si un jour je tombe sur un il payera pour les autres, et plus de mains, plus de langue, vas t'expliquer, ou faire des mail d'arnaque
 Aujourd'hui dans les postes que j'emploie ou les quelques personnes que je fréquente hors boulot, personne ne m'a jamais apporté ce que ces quatre bonshommes m'ont offert une amitié sincère, sans limite, et sans question, et un profond respect partagé pendant cette période.

La vie continue, les emmerdes avec, les obligations envers la famille je me suis vu proposer une place dans le transport mais cette fois-ci, dans le service informatique, pour administrer les postes du siège au nombre de 250, ainsi que les 12 sociétés implantées en Europe

Europe Egetra grosse boite d'exploiteur de personnelle

soient par téléphone ou avec une connexion à distance VNC. Le salaire était au minimum pour des horaires me convenant en commençant l'après-midi pour finir en fin de soirée le travail était agréable, avec les utilisateurs tout se passait bien, mais dans ce genre de grosses sociétés, il y a toujours un groupe très à vous faire trébucher. Je me suis défoncé pour cette société pendant quatre années avec un stress multiplié, et un chef d'une hypocrisie comme c'est pas permis, un lèche cul le première, le petit roqué que l'on frapperait bien par le coût et que l'on  giflerai avec des allers-retours et un grand plaisir. Comme je vous l'ai dit précédemment j'étais malade mais sans savoir d'où cela venait telles précautions devait-je prendre, apparemment problème est de la colonne vertébrale qui lui datait pour lequel j'avais un traitement bien établi de morphine du matin au soir, j'avais sans cesse des mal de tête et parfois à peine étaient déjà arrivés au boulot, que je repartais immédiatement à mon domicile, évidemment je me retrouvais souvent en maladie, mais j'avais un chef qui me disait prend soin de ta santé c'est le principal on peut se débrouiller ne taquet pas tout le bien, en fait le filet se resserrait autant dans la société que dans mon corps un jour je ne me sentais vraiment pas bien j'avais sans le savoir j'avais 19,5 de tensions, je suis parti voir mon médecin traitant qui lui est également ce fou de son boulot de ses patients il envoie tellement passer, il envoie tellement se plaindre, j'envoie tellement lui dire docteur j'ai ceci chez cela il me faudrait ceci ou bien cela, qu'il en arrive à vous dire la douleur est dans ta tête arrête de t'écouter le médecin c'est moi. et il me donna des cachés pour régler la tension et puis c'est tout ce que l'intéressé est d'ailleurs la seule chose qui demande en entrant dans son bureau c'est la carte vitale et après le lait dans son ordonnance il ne vous regarde même pas il fait genre je réfléchis et vous renvoie chez. Le lendemain matin je me suis retrouvé aux urgences avec 21 de tension est un belle infarctus résultats de l'opération trois artères abîmée une grosse à 70 % de petit à 40 %, il ne fallait un traitement a vie, plus ce que je connais des gens plus après cet incident Fut pratiquée une rééducation cardiaque, où on m'a gentiment dirigé vers un psychiatre évidemment on dit que quand vous faites un infarctus il y a de fortes chances que vous fassiez une petite dépression et vous vous retrouvez devant plus fou que vous, cerise sur le gâteau il vous donne des antidépresseurs des antistress et des cachets pour calmer vos nerfs cela fait un cocktail parfait pour vous mettre à genoux après 10 ans de prise journalière. Suite à cet infarctus et non mon arrêt de travail de plus de trois semaines, quand j'ai repris ma place après la visite médicale qui me rendait à Gentiment ni derrière mon bureau en disant ne stresse pas on va répondre au téléphone pour toi fait les petits trucs à faire en attendant que tu te reposes et que tout rentre dans l'ordre, mais en fait on me mettait sur une voie de garage, pour me dire sen traîner

Le stress au boulot, conduit a la crise cardiaque le licenciement
les mensonges le tribunal les cachées pour finir la folie, et votre femme

deux jours après, qu'il fallait que je quitte mon poste immédiatement, que je n'avais pas à finir la journée qu’elle me serait payée et que je passe à la comptabilité. On venait tout simplement de me foutre a la porte très gentiment après quatre ans de bons et loyaux services, de peur que je parle aux employés de la façon dont les choses se passent, on préfère me laisser rentrer chez moi sans finir la journée bien évidemment j'ai quitté la société, je suis parti au commissariat déposer une plainte car leurs agissements étaient loin d'être légale, s'en est suivi un tour au tribunal, le dossier était tellement clair, et est évident puisqu'il ne prononçait pas une absence du à une maladie, mais une absence répétée, alors qu'en fait la raison de ses absences répétées était bien du à un problème venant de mon stress a mon post, leurs prétextes n'étaient pas fondés. Je vous passe les détails de l'hypocrisie, temps du DRH, du chef de service, de la direction évidemment, pour faire court j'ai gagné le procès et ils ont dû payer. Cela n'a pas empêché qu'à 54 ans je me retrouve au chômage que c'est une grosse difficulté pour trouver un emploi à cet âge-là avec mon palmarès médical, que Pole emploie vu votre rage sachant pertinemment que personne vous embauchera, ils ne vous proposent absolument rien comme emploi, même pas un rendez-vous avec la personne qui gère votre dossier en six ans je n'ai pas vu un seul conseiller, je n'ai pas reçu une seule proposition de travail, et on ne m'a jamais demandé de fournir des tampons de sociétés visitées par mes soins, pour prouver que j'étais bien à la recherche d'un poste. J'ai bien de mon côté évidemment rendu visite à la maison de l'emploi, géré par la mairie du quartier, ou dans les premiers temps, on vous reçoit avec le sourire plein de propositions en France il y a du travail mais il faut le voir bla-bla-bla, quelque jour après jour après on vous oublie, on vous dit effectivement si vous ne venez pas tous les jours on ne peut pas se rappeler de vous? il est vrai qu'il y a du monde mais croyez-moi, malgré le nombre minime ou je me suis présenté chez eux, ils connaissent parfaitement mon nom, mon histoire ont me propose des stages qui n'ont rien à voir avec mes capacités enfin bref la bureaucratie française. Depuis que je suis chômeur de longue durée

La dernière Place
pole emploi

j'ai dû vendre mes bijoux à deux roue, un après l'autre en perdant le maximum, devenant extrêmement malade temps de mon dos, que du cœur, les cacher bêtabloquants, antalgiques, antistress et autres ont fait de moi une personne qui a un certain moment avait du mal à s’exprime, à se tenir droit, a être un marie honorant sa femme, sachant que les bêtabloquants vous ôtent toute envie, que les antalgiques et somnifères vous envoient au lit très tôt, vous n'accordez plus de temps à votre femme ni à vos enfants, ces derniers se détournent de vous, finissent par croire que vous le faites exprès, que c'est un jeu, votre femme ne peut plus continuer à vivre avec un fantôme, ce qu'elles veulent c'est un mec présent tout les jours, toutes les nuits, qui ramènent du fric, qu'il la laisse sortir et qui ne demande pas de lui rendre des comptes, et si elle n'obtient pas tout ça, elle se tourne vers ses copines, qui convaincrons votre femme à dire et à penser que finalement le divorce c'est pour tout le monde, est qu'en le faisant elle pourrait recommencer une autre vie. Je vous laisse imaginer le reste, après 32 ans de mariage quatre enfants, je me suis retrouvé du jour au lendemain avec plus rien, j'ai quitté la maison pour prendre un petit deux-pièces, je n'ai plus une seule moto, je roule avec une petite voiture d'occasion, j'ai pris un chien à qui à qui parler, aujourd'hui je peux dire que dans certains cas un animal et son parfois de meilleure compagnie qu'un être humain ou qu'un enfant. La moralité de tout ça est que tout peut bien commencer, tout peut être merveilleux, on peut s'éclater avoir des belles voitures, faire de beaux voyages, avoir un beau bateau, aller à des réceptions, le jour ou tout s'arrête, vous ne représentez plus rien aux yeux de votre femme, et vous finissez tout seul.